La naissance des tropéziennes
Les tropéziennes sont nées dans le célèbre petit village de Saint-Tropez dans les années 1930. Dominique Rondini a lancé un premier modèle de ces sandalettes en cuir en 1927.
Cela fait donc plus de 80 ans que la maison Rondini, la plus ancienne de Saint-Tropez, fabrique les fameuses chaussures à lanières. Des personnalités comme Colette ou Marlène Dietrich s’y chaussaient déjà !
Aujourd’hui encore, la production y est artisanale et chaque pièce est élaborée à la main.
La boutique atelier propose toutes sortes modèles dans différents cuirs (python, chevreau...) et coloris.
Les spartiates tropéziennes de K.Jacques
Si la maison Rondini a été l’une des pionnières dans la fabrication des tropéziennes, elle n’est pas la seule à perpétuer la tradition des sandalettes de cuir.
En 1933, M. et Mme Kéklikian Jacques ouvrent une petite boutique de sandales à Saint-Tropez rue Allard. Le logo K.Jacques naît en 1970.
Aujourd’hui, cette marque est diffusée dans plus de 300 points de vente à travers le monde, dont la plupart aux Etats-Unis. 70% de la production est exportée sur les 5 continents : Europe, Amérique du Nord, Afrique, Asie, Australie. La marque collabore aussi avec de grands noms de la mode comme Karl Lagerfeld, Chacok ou Kenzo.
Les indémodables tropéziennes
A Saint-Tropez, berceau de la production, seuls les ateliers Rondini et K.Jacques fabriquent les véritables tropéziennes : des modèles uniques, dont chaque paire nécessite en moyenne une heure de travail.
Vernie, noire, couleur or, argent ou cuir naturel, la sandale star de l’été se décline à présent pour tous les goûts.
Mais attention, les imitations sont nombreuses ! Deux fois moins chères, elles sont aussi beaucoup moins solides…