fonderie, forge et chaudronnerie de fer Veillon, puis Société des Constructions Mécaniques, puis Fonderies Modernes

Fonderie, Forge Et Chaudronnerie De Fer Veillon, Puis Société Des Constructions Mécaniques, Puis Fonderies Modernes

31 rue du faubourg d'Auvergne ; 2 rue Marcel Paul
30100 Alès

Présentation

Côté est, grand atelier en pierre et parpaings de résidu industriel en gros oeuvre, couvert en tuiles avec lanterneau en verre ; bureaux à 2 étages carrés à l' extrémité sud ; côté ouest plusieurs ateliers associant les divers matériaux et techniques ; surface bâtie en m2 : 4295
L' atelier de construction de machines Veillon est signalé à Alès des 1810 entre la rue Albert 1er et la rue pasteur ; Louis Veillon s' installe dans une simple maison du faubourg d' Auvergne lors des aménagements de 1836 et y construit une usiné en 1847 ; d' abord spécialiste des chaudières pour mines, filatures etc, il se tourne vers le matériel minier de plus en plus gros (pompes, ventilateurs...) ; ses fils Gustave, ingénieur, et Louis, directeur, lui succèdent et l' entreprise s' élargit en 1900 dans la S.A. de construction mécanique (directeur crochet) qui passe en 1922 à la S.A. le matériel des mines à Lyon puis, en 1927, à la S.A.R.L. des constructions mécaniques (directeur J. Boisson) , Antoine Pinet y travaille pendant 2 ans ; 1928, séparation de la S.A.R.L. Fonderies modernes qui devient en 1950, Sté nouvelle de fonderie, titre conservé jusqu' à la fermeture en 1969 ; une partie des bâtiments est actuellement salle de spectacles et agence de voyage.
Autorisation le 04 fev. 1850 pour une machine à vapeur de 10 CV et deux chaudières avec bouilleur et fond hémisphérique de 4, 026 m³ chacune.
1962 18 personnes aux fonderies modernes, 48 aux constructions mécaniques