Carrières de roche calcaire, dans le canton de Targon, exploitée de manière intensive, dans un premier temps avec du pic, jusqu'en 1914, puis grâce à la mécanisation, avec le scie à ruban, et les haveuses.
Au début, l'exploitation de cette carrière était souterraine, puis, depuis 1960, on l'exploite à ciel ouvert, par gradins droits.
Le calcaire à astéries commençant à s'épuiser dans cette carrière, une seconde sera ouverte à Lugasson.
L'exploitation de la carrière se fait en fonction des commandes, et principalement pour la réfection, la restauration des bâtiments et monuments, et des châteaux du Bordelais, les pierres sont transportées en camion, vers l'atelier de débitage, puis préparées.
L'atelier compte plusieurs machines, haveuses, débiteuse Pélecq, grue, tour, scie hélicoïdale à sable et eau, et outillage de sculpture.
L'atelier comptait en 1991, 3 salariés pour l'extraction, et 5 pour l'atelier de débitage.
L'atelier de fabrication était installé dans un hangar en rez de chaussée, construit en pan de fer, et recouvert d'un toit à longs pans, en ciment amiante, le gros oeuvre est en pan de fer et métal.
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