Pour agrandir l'ancien cimetière, au sud de la commune, les marguilliers de Saint Saturnin, échangent, avec les religieux de Bourgmoyen, un le terrain d'une maison, et d'un jeu de paume, en 1515, puis un second terrain à côté, à François Rondeau.
Le nouveau cimetière et du type de l'aître de Saint Maclou à Rouen, il est composé de galeries, et de chapiteaux sur la galerie sud, et de sculptures de salamandre sur l'in des chapiteaux.
Désaffectée pendant la révolution, l'hôpital général de Vienne y installe une buanderie.
Restauré et aménagé, il abrite le musée lapidaire en 1934.
En 1980, le puits de l'espace central est déplacé dans l'ancienne cour du couvent des Jacobins, elle même transformée en jardin.
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