Usine Électrométallurgique, Puis Usine De Transformation Des Métaux Tréfimétaux

37 rue Georges Landry
14160 Dives-sur-Mer
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Itineraire

Présentation

Logement patronal à un étage carré surmonté d' un étage de comble, en brique, calcaire et enduit partiel, à toit à longs pans à pignon découvert en ardoise. Bureau à un étage carré, en calcaire et brique, à toit en terrasse et à longs pans à pignon découvert en ardoise. Atelier de fabrication en rez-de-chaussée, en brique et enduit. Cité ouvrière (1) à un étage carré, enduit et brique, à toits à longs pans en tuile mécanique (rues St-Jacques, St-Pierre, Ste-Marguerite) , en rez-de-chaussée surmonté d' un étage de comble, enduit, à toits à longs pans en tuile mécanique (rue Ste-Suzanne) , en rez-de-chaussée, enduit et brique, à toit à demi-croupe en tuile mécanique (rue Ambroise Croizat) . Cité ouvrière (2) en rez-de-chaussée surélevé, sous-sol et comble, enduit et brique, à toits à longs pans et à demi-croupe en ardoise (type rue St-Eloi) , en rez-de-chaussée surélevé, sous-sol, un étage carré, comble, enduit et brique, à toits à longs pans en tuile mécanique (type rue d' Auge) , ou en rez-de-chaussée, calcaire ou calcaire enduit et brique, à toits à longs pans en tuile mécanique (type rue du Nord) . Logements de contremaître à un étage carré surmonté d' un étage de comble, en moellons de calcaire, enduit, brique et pan de bois, à toit à croupe, à demi-croupe et en pavillon, en tuile plate.
L' usine de Dives est construite en 1891, avec 32 logements, par Pierre Secrétan et des industriels anglais, sous le nom de Elmore' s french patent copper depositing company limited, pour la fabrication de produits à base de cuivre et de zinc. Réglementée par arrêté du 4 avril 1891, elle se dote de nouveaux logements vers 1897, en 1900, 1911 et entre 1913 et 1926. En 1910, date de démarrage du laminage de l' aluminium, est construite une cartoucherie. Vers 1930, le laminage de l' aluminium est abandonné au profit de celui du maillechort. L' usine de Dives produisait en 1952 planches, bandes, disques, flans monétaires et barres creuses en cuivre et alliages pour orfèvrerie, armement, industries électriques, alimentaires, chimiques et automobiles. Une centrale thermique, mentionnée avant guerre, est détruite en 1944, une centrale au mazout est attestée en 1952. Deux fonderies (cuivre et cuivre ou alliages) , un atelier d' électrolyse (114 cuves) , deux ateliers d' étirage, trois ateliers de laminage, un atelier de découpage, laboratoire et ateliers d' entretien attestés vers 1953. Un nouveau laminoir est installé en 1982. L' activité cesse en 1986. Le site a, depuis, été partiellement détruit, au profit d' un port de plaisance.
L' usine est exploitée à partir de 1893 par la société française d' électrométallurgie, en 1911 par la société d' électrométallurgie de Dives, en 1919 par la compagnie générale d' électrométallurgie, en 1943 par la compagnie générale du duralium et du cuivre (CEGEDUR) , en 1967 par Tréfimétaux.
2149 employés en 1917, environ 1700 en 1930, environ 1400 en 1952, 970 en 1980, environ 930 en 1983.

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