A. Martin signale une maladrerie supprimée au 17e siècle, dont la chapelle était ruinée dès la fin du 16e siècle, mais dont les vestiges étaient encore visibles dans la cour du Pradon. La ferme du Pradon est signalée en 1795 comme ayant 95 acres. Le logis actuel conserve une cheminée du 17e siècle, mais a été remanié. Les dépendances présentent des murs du 17e siècle (four à pain) et ont également été reconstruits au début du 19e siècle. Une grange à manège a été détruite en 1945
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