Les documents mentionnent l'existence du jardin d'agrément dès 1639. Un premier parterre, le jardin d'agrément proprement dit, se développe face à l'élévation postérieure de la maison. La douve Est, plus large, devait faire office de vivier. Un petit pont donne accès au petit parterre servant d'espace de transition entre le grand parterre et l'ancien potager. Un mur en exèdre, percé en son centre par un escalier à sept emmarchements, délimite le petit parterre du vaste potager placé en terrasse. Une terrasse plantée de tilleuls permet la promenade à l'est du potager. Le jardin de Montcuit se situe dans la tradition des jardins réguliers en terrasse, très caractéristiques du 17e siècle. Montcuit possède en outre un réseau hydraulique important.
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