En 1921, le conseil municipal décide de regrouper les soldats morts pour la France et d'adjoindre un monument commémoratif. Le projet est confié aux architectes Henri Dépruneaux et Charles Sanlaville. Les sculptures sont dues à Henri Charlier. Le monument représente une femme agenouillée au-dessus de la plaque recouvrant le caveau, sur laquelle sont gravés les noms des victimes. En face, une croix porte, en bas-relief, un poilu blessé et un soldat enroulé dans un réseau de fils de fer barbelés. Une touche régionale est apportée par la sculpture d'un berger et de pommes de pin. Quelques traces de polychromie subsistent. A l'origine, le monument devait être entouré d'une composition végétale qui n'existe plus.
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