Dépendance du château du Parc, la chapelle du 14e siècle, remaniée plus tard, s'accompagne d'un bâtiment annexe qui devait servir d'ermitage à un ermite gardien du lieu. Cette disposition devait être courante en Bretagne et semble provenir de la notion bretonne d'ermite gardien de sanctuaire remontant aux ermites missionnaires celtes du 6e siècle. Cette chapelle rurale de pèlerinage était dédiée à Saint-Antoine l'ermite. Les baies du chevet s'orne d'un réseau de fleurs de lys.
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